Mariages asiatiques, les faux-pas à ne pas faire

Par Pandou Media

Vous souhaitez organiser vos noces en respectant les coutumes chinoises ? Vous êtes le +1 de votre meilleure amie coréenne ? Vos parents veulent que vous assistiez au mariage de votre 8e cousin vietnamien ? On vous donne tous nos conseils pour vous préparer ou devenir l’invité parfait. Point par point, voici ce qui diffère des mariages occidentaux.
[Texte : Emilie Huynh - Photos : Jackson Wong - Unsplash / Shutterstock - Norman Chan]

Le faire-part

Pas de carton d’invitation classique blanc pour un mariage chinois. L’invitation est rouge et porte le signe du double bonheur inscrit en caractères dorés. Un jour de fête doit impérativement être symbolisé par la couleur rouge qui porte bonheur. Pourquoi choisir une couleur neutre pour fêter une si grande occasion ?

La date du mariage

Alors qu’en France, les futurs époux préfèrent se marier pendant les mois estivaux de juin à septembre, profitant des beaux jours pour célébrer leur union, en Asie, rien n’est choisi au hasard. Ainsi, au Japon, la grande majorité des mariages a lieu en automne. La date est fixée après la consultation du calendrier rokuyô qui détermine les jours favorables et défavorables de l’année. La superstition trouve également sa place dans d’autres cultures asiatiques puisqu’au Vietnam, au Laos et en Corée, c’est souvent à un spécialiste des calendriers lunaires ou à un ancien que l’on fait confiance pour le choix du jour du mariage. En Chine, le couple préférera aussi consulter un moine qui décidera de la date des festivités en fonction des signes du zodiaque et des dates de naissance des mariés.

Cet article est à lire en version intégrale dans Koï #20, disponible en ligne ou en kiosque.


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