Dans un écrin de marbre et de pierres brutes, Satomi et Stanley Chan pâtissent à l’ombre de grands sacs de farine faisant o ce de frontière entre leur atelier de préparation et la boutique/salon de thé qu’ils ont installée à Bordeaux. Elle est japonaise, lui taïwanais. Ensemble, ils sont passés par des maisons d’excellence telles que celles de Pierre Hermé, de Joël Robuchon ou encore de Yannick Alléno. Satomi Chan nous répond, tandis que son mari Stanley s’a aire à la préparation des commandes du jour.
À lire dans notre numéro 11, mai-juin 2019.