Pendant plus de trois ans, le photographe Thomas Morel-Fort a suivi le quotidien de plusieurs « Filipinas ». En 2016, il a observé leurs conditions de travail au plus près, en se faisant embaucher avec elles dans une villa de la Côte d’Azur.
Employées dans les beaux quartiers de l’Ouest parisien, les travailleuses domestiques philippines ont quitté pays et enfants pour une meilleure rémunération. Sur leur chemin, elles sont souvent confrontées aux infractions au droit du travail, aux abus et à la précarité.
« Vous vous lancez dans des reportages minables, à la qualité de contenu quasiment nulle, avec pour seul objectif de montrer au public l’image puérile et pathétique des fans hystériques de la K-pop » Olivia Ezelin